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L’apprentissage est un bon moyen d’entrer dans la vie active, mais parfois ce choix s’impose à la fin du collège. Que ce soit par choix ou par manque de résultats, les raisons sont nombreuses et souvent subies. Mais l’apprentissage, si la section est bien choisie, offre de réelles perspectives à ces jeunes, à qui le système général ne convient pas. Pas de honte à avoir, tout le monde n’est pas fait pour effectuer de longues études et l’apprentissage d’un métier est un atout précieux de nos jours.
Un risque de chômage plus faible à l’issue de la formation
Parce que le chômage touche toujours durement les jeunes, maîtriser les gestes précis d’un métier, sera l’élément déterminant à l’embauche et la promesse d’une vie professionnelle plus encline à accueillir ces jeunes. En effet pendant une durée variable de deux à trois ans, les opportunités de poursuivre des études tout en bénéficiant des connaissances d’un maître de stage sont nombreuses. Souvent dans des métiers à forte capacité d’embauches, la possibilité de signer un contrat de travail dans l’entreprise qui accueille ou de trouver plus facilement un emploi est forte. Pas forcément des connaissances de niveau 1 (anciennement niveau V) , l’apprentissage peut être effectué du BEP, au BTS en passant par le baccalauréat.
Une rémunération en fonction de l’âge et de l’ancienneté
Terminés les deux mois de vacances pendant l’été, pour gagner son salaire et apprendre dans de réelles conditions, l’apprenti bénéficie de cinq semaines de congés payés auxquelles s’ajoutent des jours pour révision d’examens. En contre -parti de son travail, il perçoit un pourcentage du SMIC ou du salaire minimum conventionnel en fonction de son âge et de son ancienneté. Ces grilles de salaires sont régies par le code du travail, mais peuvent être plus favorables dans différents secteurs qui appliquent une convention collective ou un accord d’entreprise.